The Bike Song

The Bike Song de Mark Ronson (avec Kyle Falconer et Spankrock), réalisé par Warren Fu : un must!

Les «Mamils» font jaser sur cyberpresse...

À lire absolument, surtout pour la joute de commentaires. C'est hilarant! Non mais, entre-nous, on s'en fout des «Mamils». À part avoir une étiquette pas sexy du tout qui colle à leurs fesses moulées de lycra, moi...

Bouhou...

Pas de pression

Rouler tranquille, c’est cool. Mais, plus je sillonne la ville, plus je me rends compte d’un truc: les pistes cyclables, finalement, c’est pas le paradis. J’ai parfois l’impression d’être victime de préjugés de la part de mes compatriotes. Les sacs de transport, le cadre solide, les poignées hautes: c’est comme si, en un seul regard, on décryptait que je fais du tourisme, que je n’avance pas. Du coup, on accélère à mon approche et on me dépasse aux feux. Ça, c’est pas cool. Et ça me donne envie de faire mon petit bonhomme de chemin dans les rues du Plateau et du Mile-End. Résultat? Je roule tout lentement… Je fais du tourisme, quoi!

Et-vous, préférez-vous sortir des sentiers battus?

Fini les «vacances»...

L’édition de septembre du magazine Clin d’œil est sortie en kiosque jeudi dernier. On y retrouve L’art de rouler chic, soit un article papier que j’ai rédigé et qui relate mes expériences. Le reportage fait deux pages, mais le mag est en format MÉGA. Voilà qui constitue ma principale excuse pour avoir déserté mon blogue durant tout ce temps: je préparais ce fabuleux numéro! Mes sincères excuses… Et comme dirait l’autre: «ce n’est pas parce qu’on en parle pas, qu’on ne roule pas!» Aussi, je reprends mes cyber-chroniques de ce pas!

Pardonnez-moi Seigneur, parce que j’ai BIX-é…

Je m’en confesse: c’était vendredi soir, faisait beau, j’allais au resto et je n’avais pas envie de m’en faire à savoir si ma Princesse se ferait voler ou mutiler. Alors j’ai pris la voie de la facilité: j’ai volé la clé BIXI de mon chéri et j’ai roulé à toute allure vers la soirée d’anniversaire de ma meilleure amie. Et clouc! J’ai pu oublier mon moyen de transport le temps de boire et manger, après quoi j’ai repris le même chemin et me suis retrouvée chez-moi.

- T’as fait du BIX-soul, ma doudou? (mon chum, vexé de s’être fait usurper sa BIX-identité)
- Ben non, j’ai juste pris deux verres en trois heures.
- J’appelle la Ville. Ils devraient te retirer le permis.

Depuis ma cellule (de culpabilité), je vous demande: trompez-vous souvent votre bécane pour le rutilant mastodonte? Si oui, à quelle fréquence et pourquoi? Emilie-VEUT-savoir.

Existe-t-il une longueur de jupe idéale pour faire du vélo et autres questions existentielles

J’ai soumis ce titre à mon éditeur, mais il dit que c’est trop long, que le bouquin ne se vendrait pas. N’importe quoi. Parlez de longueur de jupe et aussitôt, une soirée qui s’annonçait sans histoire s’anime. Mieux: montrez un peu de peau sur la piste cyclable et un trajet tout con de la maison au bureau se pave péripéties pour la plupart réjouissantes pour l’ego. Sauf que, faudrait quand même pas causer des accidents, ni risquer de dévoiler davantage de nos charmes qu’il serait de bon ton de le faire. Moi, je dis mi-cuisse MAX et, les matins de fesses tristes, un legging, juste au cas ou l’arrière-train se ferait justement trop traînant.

Et puis, il y a évidemment le truc ultime qui consiste à rouler mon jupon mignon dans du papier de soie et à le déposer dans ma sacoche ORTLIEB (un fourre-tout hyper-pratique tant pour faire les courses que pour transporter élégamment ma paperasse et que j’ai aussi déniché au Yéti). J’y mets aussi mes escarpins et mes accessoires et hop! Même ma patronne commence à croire que c’est possible de rouler cool…



Et vous, vous faites comment?